Parole antivol

Article paru dans l’édition montpelliéraine de 20mn.

Où l’on découvre quelques tuyaux pour réduire le risque de vol de votre monture favorite.

Dont des propos prêtés à Dominique, coordinateur du Vieux Biclou, recueillis il y a … presque 2 ans, lors de l’opération gravage à la Fac, mais qui restent d’actualité!

20mn 20150423

Et quelques semaines auparavant, en mars, dans le supplément loisirs Midilibre, un petit tour d’horizon d’activités sur le mode « Do it yourself » faisait sa place au Vieux biclou : l’embarras  du choix!

midilibre loisirs 03-2015

 

A l’école de Jacou en mai 2008

Directrice, professeurs, parents d’élèves,police municipale et mairie, s’étaient réunis à Jacou pour inciter les parents à venir accompagner leur enfants en vélo ce samedi matin là!

Quoi de plus naturel pour le VIEUX BICLOU de se sentir concerné par une telle initiative!

Nous avons aidé les enfants et adultes à partir pour le tour du village sur des montures, au moins vérifiées…mais il y a du travail à la sortie de l’hiver pour nos pauvres bicyclettes endormies dans les garages humides!

Heureusement que les clowns de la compagnie Rigol’n’co étaient là pour dédramatiser…

Une bien agréable matinée merci à l’équipe de l’école de Jacou et à la municipalité.

article jacou mai 08.jpg

 

Le Midi Libre était à l’inauguration

Gare : Le Vieux biclou dispose d’un local pour les fous du vélo

Au terme des premiers pas d’une aventure débutée en septembre dernier avec la création de l’association (Midi Libre du 4 octobre 2005), Le Vieux Biclou est désormais installé dans ses locaux, inaugurés la semaine passée, au 22 rue Lamartine. Une vingtaine de membres et sympathisants, dont le président de Mare Nostrum ou l’adjoint au maire délégué à l’environnement, étaient d’ailleurs présents aux côtés des créateurs de l’association, Nicolas Rey et Christine Faidherbe.

L’espace, modeste mais fonctionnel, permet aux membres de l’association de réparer leurs vélos et à Denis et Christine de rappeler tout à loisir les origines du concept qu’ils ont mis sur pied: « Assis à la terrasse d’un café, nous av·ions vu passer une personne d’un certain âge sur un vélo délabré et dangereux,alors que quelques réparations simples auraient permis de le fiabiliser.

L’idée de créer une structure qui aide les gens à prendre en charge l’entretien et les réparations de leur bicyclette sans être gênés par des problèmes de place, d’argent, de connaissances techniques, est venue à ce moment-là. Une manière de promouvoir les déplacements doux, avec l’utilisation du vélo en ville, appuyée par la municipalité. « Nous considérons le vélo, avec les transports en commun, comme une vraie alternative à la voiture. Et nous espérons tendre vers une part de son utilisation pour les déplacements urbains de 10 % dans un premier temps, alors que nous tournons autour des 5 %. Il faut savoir que certaines villes allemandes affichent aujourd’hui un taux de 25 % », a précisé Jean-Louis Roumégas, citant également l’exemple de la ville de Lyon, « où un millier de vélos sont à disposition du public dans le centre. Une idée à l’étude pour Montpellier. »

Un démarrage rapide pour cette association qui cherche à élargir dès à présent le nombre de ses adhérents et de ses partenaires pour lui permettre d’atteindre, pourquoi pas, comme c’est le cas dans des villes en pointe comme Grenoble, le nombre de huit cents adhérents.